Ce Blogger est dédié à la page thématique "Politique" du site de l'Association Française de Développement Mental Sémantique DMS.

samedi 17 novembre 2018

TRISTES ÉOLIENNES


ÉOLIENNES : LA GABEGIE DE L'ÉCONOMIE VERTE
Les éoliennes sont une menace pour l'homme et la planète
Une idéologie écologique aveugle nous a menés vers une catastrophe écologique et sanitaire, les faits :
§ Tout d'abord l'industrie de l'éolien est une affaire purement financière à gros rendements grâce à la taxe prélevée par EDF sur les consommateurs. Des financiers et leurs lobbies qui ne se soucient aucunement des conséquences de ce qu'ils vendent en s'appuyant sur une publicité mensongère et des rapports biaisés, et s'en servent pour manipuler sans vergogne et faire pression sur des populations et des élus peu informés.
§ Contrairement à ce qu'on veut faire croire les éoliennes augmentent les émissions de CO2 au lieu de les réduire.
§ Elles augmentent le réchauffement climatique par le brassage de l'air (l'augmentation serait de 0,5°C au sol pour un territoire qui n'utiliserait que l'énergie éolienne).
§ Elles sont dangereuses et polluantes pour l'environnement, malgré des massifs d'ancrage de plus de 1 500 tonnes de béton pour assurer leur sécurité.
§ Elles constituent une nuisance visuelle qui déprécie l'immobilier et la valeur touristique de vastes territoires où elles sont implantées.
§ Elles menacent la biodiversité.
§ Leurs nuisances sonores et infrasonores, sensibles jusqu'à 10 km, présentent un danger pour la santé des animaux et des hommes.

Cet aspect de la transition énergétique et un exemple flagrant de la collusion entre l'économique néolibéral et le politique. Par ses financements aux associations écologiques, il constitue un facteur de destruction du lien social.
Tous les champs éoliens terrestres et maritimes doivent donc être démantelés d'urgence sur l'ensemble du territoire national.
Un dossier complet, très édifiant avec ces deux premiers liens, Un troisième de témoignages des nuisances de l'éolien.




mardi 13 novembre 2018

DECIDEMOS


LES POLITIQUES DOIVENT
Les politiques doivent entendre les citoyens ! Un veux pieux ! Decidemos devrait plutôt dire : "Virons les anciens et remplaçons les, nous nous engageons à entendre les citoyens". Nous savons que les promesses n'engagent que ceux qui les lisent. Qu’écouter, n'est pas tenir compte des opinions d'autrui. Que les agoras des débats participatifs sempiternels genre soixante-huitards, n’intéressent que peu de monde, ne sont pas représentatif de l'ensemble du peuple qui n'a pas ce temps à perdre, ne sont pas démocratiques, et ne mènent à rien, sinon du faire valoir pour quelques tribuns. Pour plus de démocratie, seuls comptent les textes écrits présentés à la votation nationale du peuple, mais ce sont les élus qui choisissent ces textes. C'est ce que le Conseil fédéral suisse a bien compris. Et il autorise aussi les référendums d'initiative populaire, mais encadrés par des associations agrées, chargées de traiter les pétitions qu’elles reçoivent et de recueillir le nombre de signatures nécessaires. Et, ça coûte très cher, évalué à un euro par signature, en toute liberté, mais non financé par l'état, donc il faut trouver des financements privés, tout en sachant qu'une sur dix seulement de ces propositions sont approuvées par le vote du peuple (ce qui met en lumière le caractère non démocratique et non légitime des pétitions pour des causes qu'une association estime justes, pour tenter d'influencer la sphère politique). Dans le brouhaha des opinions diverses, la démocratie se doit d'avoir des règles et des procédures strictes pour fonctionner efficacement.



DON DE L'EXPRESSION


LE DON DE L’EXPRESSION
Je considère qu'une expression écrite (ou orale) est un don sans contrepartie.

Nous apprécions un don selon 3 critères :
a) sa valeur intrinsèque (d'une façon subjective), un soda industriel, n'a pas la même valeur qu'une bouteille de vieil Armagnac (sauf en plein désert si je meurs de soif),
b) la valeur de son intention, plus ou moins débonnaire et avec plus ou moins de bienveillance,
c) son authenticité, la valeur de la langue de bois étant nulle (ce troisième point ayant souvent plus de poids que les deux autres).
Il est évident que l'expression d'un média comme la télévision n'est pas un don mais rentre dans la catégorie de l'économie commerciale libérale lucrative (et de plus, c’est une escroquerie puisque les téléspectateurs sont vendus aux annonceurs publicitaires et ne sont pas des clients).
Si ton intention est politique (donc noble), tu veux convaincre les autres pour résoudre des problèmes collectifs. La mienne est spirituelle (tout aussi noble), je veux séduire pour transmettre des savoir-faire. Tu acceptes donc tous les dons et tu donnes à tous, car le dire de l'autre (même sans valeur intrinsèque) est celui d'un électeur, et que chaque voix compte. Alors que moi je sélectionne les dons que j'accepte et à qui je donne, cette sélection pouvant être brutale envers l'autre qui peut se sentir rejeté, ce que tu m'as souvent reproché.
Dans Facebook, on donne souvent à tous vents, comme Olivier Frerot avec cet article (voir LE DON dans le Blogger Economie) que j'estime d'une grande qualité (donc égale aux miens), ou d'une façon ciblée quand on répond ou qu'on s'adresse à quelqu'un. Encore faut-il que ce soit dans l'intention de donner à l'autre et non pas à soi-même pour se sortir du trou dans lequel on est confiné. Enfin, l'insulte et les sarcasmes sont des dons méprisables, qui ne visent pas la paix et sont donc incohérents dans cette économie, non lucrative mais fondatrice des relations sociales, du don.


L'agora d'Athènes et le sénat romain furent créés avec le principe du don démocratique, afin d'améliorer les relations sociales des familles patriciennes, et d'assurer leur unité. Mais rien de plus, car l'intelligence collective est une théorie illusoire, et ne peut exister. C'est pourquoi en cas de problème à résoudre, l'agora et le sénat nommaient un chef d'état, un dictateur ou un consul, pour ce faire, comme le furent Périclès et César. La révolution française et la 4iéme république ont montré qu'une assemblée détenant le pouvoir suprême mène aux pires catastrophes, et que son incapacité à résoudre les problèmes de la cité conduisait à la prise du pouvoir ou à nommer un consul, ce que furent Bonaparte et le Général de Gaulle. Nombreux sont les mouvements politiques qui oublient que la démocratie participative a des limites, et n'est pas faite pour régner mais pour assurer de bonnes relations sociales entre les diverses communautés,

Raison pour laquelle si la première chambre est élue, la seconde consultative devrait représenter la société civile, les classes sociales, les communautés et les associations selon leur poids dans le pays, être un lieu d'apaisement des conflits, ce qui devrait être le rôle du Conseil économique et social. Par contre le sénat actuel qui ne représente que des édiles n'a aucun sens, sinon de distribuer des bâtons de maréchaux et de bonnes retraites à certains.



samedi 3 novembre 2018

SYSTÈME POLITIQUE


DU SYSTÈME POLITIQUE
La politique, c'est l'art de contraindre les hommes à mieux vivre ensemble, en dépit de ce qu'ils sont, de ce qu'ils croient, et de ce qu'ils désirent. S'il n'y avait pas de menace écologique globale cela ne présenterait guère d’intérêt, mais puisque la menace est là, cela devient un devoir pour certains.

La démocratie représentative est un leurre à partir du moment où elle aboutit à désigner un chef au sommet du pouvoir. Par essence le pouvoir politique est dictatorial parce qu’il dicte les règles de la cité, il est tyrannique parce que souverain et sans partage. Pour éviter le despotisme d’un seul il vaut mieux que le pouvoir soit assuré par une équipe unie de sept à douze personnes partageant le même courant de pensée et les mêmes objectifs. Cette équipe doit diriger des ministres chargés de faire exécuter les directives dans leurs administrations respectives, et être aidée par des experts pour prendre des décisions, elle peut aussi faire appel à des conseils institutionnels, comme en France le Conseil d’Etat, la Cour des Comptes, le Conseil Economique et Social, le Conseil Constitutionnel, et tout autre qu’elle juge utile.
La validation des lois par un parlement est automatique puisque sa majorité est élue dans le même courant politique, sinon il doit destituer la gouvernance au pouvoir et provoquer de nouvelles élections générales, son rôle est donc moins de voter les lois que de faire des propositions en vue de les améliorer. Il est inutile que le nombre des députés soit supérieur à cent membres pour ce faire. Le recours à des référendums nationaux afin de valider certaines lois, sans être automatique, est de nature à étendre une véritable démocratie.
Une seconde chambre chargée d’examiner les lois sans pouvoir sur les décisions finales n’est qu’un conseil institutionnel, son mode d’élection indirecte est discutable, car elle n’est pas l’expression du peuple mais celui d’une élite politique souvent conservatrice. Il faudrait donc mieux qu’elle soit élue par des mouvements participatifs locaux fédérés, représentatifs de la société civile, et fusionnée avec le Conseil Economique et Social pour ne pas faire double emploi. Le nombre de ses représentants ne devrait pas excéder 500 Membres.
La rémunération de l’ensemble du personnel politique au service de l’Etat reste conforme aux normes en vigueur, décidée par l’équipe au sommet du pouvoir, ne peut pas être votée par ceux qui en bénéficient. Aucun privilège supplémentaire n’a lieu d’être en matière de retraite, de  prêts, et divers autres avantages. Aucune allocation spéciale ne peut être attribuée au delà de la période effective de service dans tous les organes et conseils institutionnels de l’Etat.
Les citoyens sont libres d’utiliser leur droit de réunion et d’expression à leur guise, pour créer et animer des clubs, associations, syndicats, partis politiques, groupes d’intérêt économique local et groupes de démocratie participative, et les fédérer. Ils doivent subvenir à leurs besoins et ne rien attendre des collectivités locales et de l’Etat car ceci peut impliquer du clientélisme. A l’inverse, les élus et les collectivités locales ne doivent pas solliciter les entreprises pour des aides, des emplois ou du financement de campagne politique, en contrepartie de l’attribution de marchés publics ou de toute autre faveur, car ceci s’appelle de la corruption. Toute association ou fédération de plus de 50 000 membres désigne un représentant, selon le mode prévu dans ses statuts, pour siéger dans la chambre du Conseil Economique et Social, afin de donner un moyen d’expression national aux mouvements d’initiative populaire et encourager la formation de grandes fédérations citoyennes.


jeudi 1 novembre 2018

STRATÉGIE POLITIQUE


STRATÉGIE POLITIQUE
Une élection c'est un concours littéraire, du théâtre, gouverner c'est la guerre. Pour se faire élire il faut séduire et pas tout dire, parler beaucoup des objectifs et peu des moyens qui seront employés pour les atteindre. Les gens sont maintenant conscients de la situation épouvantable, écologique, économique, sociale, sanitaire et politique, dans laquelle nous nous trouvons. Ils sont prêts à accepter des réformes pour améliorer les choses à condition que cela ne leur coûte rien et ne dérange que les autres. Au delà des constats des Écuries d'Augias sur lesquels insister, il faut leur présenter quelques points consensuels : Une éducation pour former des hommes dans la plénitude de leurs potentiels, des retraites ne lésant personne par le système des points, une simplification des procédures administratives et un meilleur accueil des usagers, une mise en cohérence des différents centres de pouvoir, locaux, régionaux, et préfectoraux, une offre plus saine et moins confusionnelle de la grande distribution par un réexamen des normes, une vie décente pour les artisans et les agriculteurs en privilégiant les organisations locales, des actions pour réduire les nuisances écologiques et préserver la biodiversité, un peu plus de démocratie en recourant à des référendums, une mise en application rapide des lois afin que les gens constatent la liaison des changements positifs dans leur vie quotidienne avec le législatif.
Nous avons affaire à une population composée de 95% d'esprits primitifs aspirant à l'avoir et au pouvoir sur les autres, et à 5% d'esprits plus raffinés privilégiant le savoir et l'être (ces chiffres étant choisis afin que chacun puisse se juger parmi les plus évolués). Nous n'allons donc pas leur enlever le capitalisme, puisqu'une majorité le perçoit comme le moyen d'améliorer sa situation matérielle. Nous n'allons pas dire aux riches que nous allons leur prendre pour donner aux pauvres (personnellement je n'ai rien à reprocher aux riches du moment qu'ils n’empiètent pas sur la liberté des autres et respectent les lois de la cité), mais leur dire qu'il peuvent librement contribuer à des œuvres non lucratives au profit de tous, et puisqu'ils ont en principe plus de temps disponible que les autres, d'être des bénévoles actifs pour améliorer la vie de la cité pour se faire aimer. Maintenant il faudra aussi promettre de mettre les moyens pour réintégrer les territoires perdus de la république, lutter contre les trafics en tous genres, faire respecter les femmes et les enfants en toutes circonstances, Messieurs et les familles, ne vous en déplaise, car ce sont des moyens pour mieux vivre ensemble.